Introduction

Notre survie future sur terre dépend de nous, de notre initiative.
On ne peut en effet compter sur nos dirigeants, politiques et autres banksters.
L'auteure, Adeline Dieudonné, l'a encore souligné le samedi 27 octobre 2018 dans l'émission "On n'est pas couché" sur France 2, les états européens sont incapables de résoudre le problème de l'immigration en Europe.
L'incompétence des états est encore plus évidente dans le domaine de l'énergie.
Si un Etat ou un COP?? avait eu le moindre souci pour l'humanité ou pour l'intérêt général, il y a bien longtemps que les inventeurs dans le domaine de l'énergie libre auraient été protégés afin de rendre aux gens une relative autonomie énergétique par groupes ou de manière individuelle.
Explications par exemple dans la vidéo suivante.
Youtube : La vérité sur l'énergie libre et gratuite ( https://www.youtube.com/watch?v=uiTLeRu2dl4 )
Ou même vidéo sur Dailymotion : La vérité … ( https://www.dailymotion.com/video/x4qvicb )
Pendant tout le 20ième siècle, de nombreux inventeurs ont été censurés, brimés, et parfois même supprimés pour avoir créé une machine produisant plus d'énergie qu'elle n'en consommait.
Le schéma électrique ci-après est un moyen de récupérer plus d'énergie qu'on en consomme, une autre méthode de charge de batteries et un moyen à la portée de tout le monde vu que les composants sont peu onéreux.
L'hypothèse de travail exposée est celle de Tesla pour qui l’énergie était infinie autour de nous et cette hypothèse fonctionne que le consensus inquisiteur scientifique le veuille ou non.

L’usage des spirales me vient d’une expérience de mort imminente survenue en 1999 et constitue la preuve par 9 que je n’ai pas halluciné durant mes 18 jours de coma.
J'ai testé la machine de Bedini dont allusion dans la vidéo ci-dessus. Cette machine produit effectivement plus d'énergie qu'elle n'en consomme.
Je ne suis pas un scientifique ou une lumière, c'est dire que ce schéma est bien à votre portée et que chaque individu ou petit groupe peut créer progressivement sa propre autonomie énergétique afin d'éviter les pertes énormes engendrées par le transport du courant sur de longues distances et l'usage de transformateurs.

Pourquoi ce schéma est-il proposé en technologie libre ?

Comme on peut le comprendre dans la vidéo ci-dessus, ceux qui créent des systèmes ou des machines capables de produire plus d'énergie que celle qui est consommée, sont inquiétés, brimés, voire éliminés.
Le dépôt d'un brevet concernant ce domaine est donc très risqué.
En outre, un brevet peut être acheté et bloqué à tout jamais de façon à ce que l'humanité ne puisse jamais avoir accès à la technologie en rapport avec ce domaine.
L'auteur, le créateur ou l'inventeur n'a donc plus le choix.
On remarquera que la vidéo ci-dessus s'arrête brusquement au moment où Mr Foster Gamble pose la question : qui est derrière tout ça ?
La réponse a cependant été donnée à une journaliste par le président US Bill Clinton : "Oh, vous savez, ici, il y a un gouvernement à l'intérieur du gouvernement."
Pour décrédibiliser la chose, certains opposeront la foutaise que constitue la "théorie du complot".
Et oui, cette théorie est bien une belle foutaise car il y a déjà 2 siècles que ce n'est plus une théorie mais un fait avéré.
Et si vous avez lu le livre "1984" d'Orwell, vous savez bien que les historiens réécrivent l'histoire, et pas nécessairement à leur façon.
On comprend mieux aussi la démarche du président Trump qui nettoie le « marécage » en combattant l’état profond ou la poignée de « milliardaires psychopathes » (dénomination utilisée par Jean-Jacques Crèvecoeur) qui prétendent réduire démographiquement et asservir l’humanité.

Nous sommes de plus en plus nombreux à marcher vers un monde meilleur.


Circuit de recharge de batteries et commentaire


Ceci n’est qu’un petit pas pour que l’individu puisse se soustraire à la dépendance énergétique et l’espoir que bien d’autres petits pas viendront s’ajouter au fil du temps. C’est aussi une autre façon de consommer du courant.


La méthode de charge ci-avant peut être utilisée sur secteur (220v)ou avec un convertisseur (12v 220v par exemple).

La batterie la plus ancienne est une solaire, 12v, 240A, 26Ah et date de 2008.
2 12v solaires 330A, 33Ah datant de 2011.
2 batteries voiture 12v 440A 44Ah datant de fin 2013.
2 batteries voiture, 12v, 440A, 44Ah, datant de 2018.

On peut également recharger des batteries au lithium, cadmium, etc.
Le convertisseur utilisé le plus souvent est un 300w convertissant le 12v en 220v.
Le fil des spirales est du fil vert de jardin disponible dans les grandes surfaces.
SP2, SP3, etc sont des spirales en série raccordées du centre vers le fil externe de la suivante. (4 x 100 mètres de fil)
Seule une spirale est en contact avec la phase (ici, SP2).
SP1 est une spirale de 25 mètres montée sur une tige filetée.
Connexions : type vissées communément appelées "sucres".
On peut voir que la tige filetée dia 12mm est montée sur 2 petits roulements.
SP a b c sont des petites spirales de 25 mètres placées devant une grande de 100 mètres.
Le courant de phase alternatif ne passe que par les spirales SP a b c et SP1.
Un pont de diodes 25A est utilisé pour faire passer le courant et les ondes dans les batteries.
(Si le schéma pose problème aux puristes, ici, il faut imaginer que le pont de diodes est vu de profil.)
Comme dans la machine de Bedini, les batteries sont rechargées par un mélange d'électricité et d'ondes.


Ci-dessus SP1 à l’horizontale avec le roulement. C’est la spirale la plus efficace.

Il s'agit d'un roulement dia interne 25 mm, externe 50 mm, qui est placé au milieu de SP1.
Le fil du milieu de la spirale est en contact avec la tige filetée, un fil part alors de la tige filetée vers le bord externe du roulement, puis le bord interne, le fil coincé par un bouchon de liège, est relié au pont de diodes.
La tige filetée dia 12 mm est montée sur 2 roulements plus petits car, à l'origine, je voulais savoir si la rotation de la spirale était susceptible d'améliorer le système. Cela n'a pas été le cas, mais j'ai laissé les petits roulements.

Sans les spirales et le roulement, on peut espérer récupérer entre 10 et 20 % de l’électricité dépensée.


L'aspect fouillis est dû aux nombreux tests et dispositions différentes testées depuis 2011.
Le moteur utilisé est une pompe à air de 60w 220v alimentant une station d'épuration individuelle.
Les batteries sont donc traversées par un courant de 220v mais cela n'a rien d'excessif par rapport à la machine de Bedini où l'on a pu relever 300v. Ne pas essayer de mesurer la résistance des batteries, cela détruirait votre voltmètre.
Un fusible 2,5A est placé entre la sortie + du pont de diodes et avant la première batterie.


Les batteries peuvent parfois détruire la diode principale du bridge. C'est pourquoi le bridge a 25A.
Petit fait intéressant : sur secteur, le pont de diotes étant sur la phase, les petites batteries 6v zinc, accus cadmium et autres, rechargeables ou non, se rechargent sans faire tourner quoi que ce soit. On peut avoir 1 ou 2 milliampères sur le fil de phase et 70, 80 milliampères ou plus sur le + du pont de diodes.
Toutes les batteries réagissent toujours à proximité du système alors qu'elles ne sont pas raccordées.

Résultat
Le circuit avec convertisseur donne régulièrement pour une heure de fonctionnement du moteur une récupération de 160mv ou plus pour une dépense de 140mv, mesures après 24h, sur les batteries voiture au plomb.
Si l'on mesure la tension entre la sortie du pont de diodes et le neutre pour savoir ce qui arrive au moteur de la pompe à air de 60w, on obtiendra une lecture autour de 215v selon les voltmètres utilisés. Du côté des 5 batteries et des spirales, on aura une lecture autour de 75 ou 80v.
Pour l'ensemble du circuit, la tension reste cependant entre 220v et 230v.
Pour l'intensité, on peut constater des lectures autour de 0,320A courant alternatif et 0,370 ou 0,380A sur le fil courant continu positif entre le pont de diodes et la première batterie.
Il est donc évident qu'une énergie s'ajoute dans le circuit.
L'intensité sur le fil qui relie le + de la batterie donnant le courant au convertisseur est un peu moins de 4A.

Les batteries solaires sont moins performantes.
La récupération totale et plus de l'énergie dépensée peut donc être envisagée de manière beaucoup plus importante avec certaines batteries (Fulmen voiture, par exemple) et/ou des moteurs plus puissants.
En pratique, remplacer la batterie qui est à l'origine du courant du convertisseur 12v 220v au bout d'un certain temps est fastidieux.
Une variante consisterait à remplacer la pompe à air par un groupe moteur + volant d'inertie + génératrice rechargeant la batterie à l'origine du courant. Pour une batterie voiture, la génératrice doit produire plus ou moins 4A et 15v. Un moteur 24v 300w peut produire cela tout comme un alternateur de voiture.
Cette technologie connue devrait rendre inutile ce remplacement à condition de lancer brièvement le volant d'inertie à l'aide d'un moteur puissant pour ensuite entretenir le mouvement à l'aide d'un moteur beaucoup moins gourmand.
L'ingénieur John Bedini a fait fonctionner un moteur pendant 15 ans avec une seule et même batterie en utilisant un volant d'inertie.
Certaines personnes ont testé le moteur/générateur de Bedini avec un panneau de cellules photovoltaïques.
Avec le système à spirales et roulement, un panneau solaire devrait réduire la dépense à rien.
Le schéma ci-dessus permet cette performance et l'excès d'énergie peut être consommé sur les 5 batteries en série.
La consommation peut être faite via un autre convertisseur ou directement.
Un serveur, par exemple, type ordinateur portable avec batterie incorporée, est capable de supporter sans mal l'interruption de courant pour passer d'une batterie à l'autre. Le 12v convient à la plupart des portables à batteries 11,5v.
(On coupe le fil et l'adaptateur de recharge venant du transformateur, on repère le positif, et on branche directement à une batterie 12v.) Le fait que les 5 batteries en série soient traversées par du 220v ne dérange pas. En tout cas, durant les tests, je n'ai constaté aucune anomalie sur les ordinateurs utilisés.
Un tel circuit constitue une sorte de chargeur universel. Une batterie 24v peut être chargée en remplaçant 2 batteries 12v dans les 5 batteries en série.
Toutes sortes de batteries peuvent être rechargées du moment que l'ensemble des batteries en série reste aux environs de 70v.

Si on doit charger 2 batteries de 36v, on ne mettra en série que 2 batteries.
Il faut évidemment toujours contrôler les temps de charge et utiliser des batteries de force voisine justement pour apprécier ce temps de charge.

Les mesures sont toujours prises après 24 heures et avec le même voltmètre.
Une batterie voiture 12v 440A qui a servi 1 heure la veille et est descendue de 12,50v à 12,36v (-140), remontera à 12,50v ou plus au 4ème jour de tests quotidiens lorsqu'on prend la mesure avant une nouvelle heure de test.
Evolution d'une batterie a. Soit la batterie a qui donne le courant et les batteries b c d e f en série.
Jour 1 : premier test avec la batterie a.
Jour 2 : mesure de a = 12,36v puis test d'1 heure avec b, a remplaçant b dans la série.
Jour 3 : mesure de a = 12,44v puis nouveau test avec c, b remplaçant c.
Jour 4 : mesure de a = 12,48v puis nouveau test avec d, c remplaçant d.
Jour 5 : mesure de a = 12,52v (+ 160) puis nouveau test avec e, d remplaçant e.
Reste la batterie f qui contient l'excès d'énergie.
Mais le travail d'alimentation en air de la station d'épuration a chaque fois été exécuté.
On constate que la batterie qui a servi la veille remonte plus vite lors de sa première recharge.
On constate le même phénomène lorsqu'on laisse reposer les batteries quelques jours.

On pourrait compléter le système avec une carte électronique gérée par ordinateur et souder les connexions.
Toute suggestion pour améliorer ce système est bienvenue.
Ce système avec spirales est donc très intéressant mais le travail avec des batteries reste malgré tout périlleux. C'est pourquoi j'ai cherché à m'adjoindre une solution de réserve à exposer prochainement.
La solution d'un panneau photovoltaïque ou d'une petite éolienne est aujourd'hui facilement accessible à des prix variant de plus ou moins 200 à 500 euros.

Fin 2016, j’ai constaté qu’il y avait augmentation de la dépense et de la récupération. Serait-ce suite à l’affaiblissement du bouclier magnétique terrestre ? Je n’en sais rien.


Comment fabriquer les spirales ?



Ci-dessus le système utilisé. Il suffit de mettre un carton ou un fin panneau de bois sur le plateau de droite et de tourner le fil en l’attachant à l’aide d’un bout d’adhésif double face pour moquette ou de l’adhésif simple ou en alternant les deux au fur et à mesure que l’on tourne la spirale.


D’où vient l’énergie en plus ou équivalente à la dépense ?

Dans l’expérience de mort imminente vécue en 1999, j’ai appris que le vide, ou l’espace entre les particules ou les objets dans l’univers, est constitué d’un tissu d’ondes d’informations hiérarchisées.

Ce tissu se déploie dans les 3 dimensions.

Nous avons tous une réplique du fonctionnement de l’univers.

Pour dessiner quelque chose, nous prenons une feuille de papier et nous traçons des lignes de façon à correspondre à la représentation mentale que nous nous efforçons de concrétiser.

L’univers agit de la même façon.

Il utilise le vide pour fabriquer la matière que nous y voyons.

Notre attention va et vient entre le modèle mental et le dessin.

Les ondes du vide vont et viennent entre la matière et le modèle intemporel sans cesse actualisé.

Ces ondes sont extrêmement rapides et elles ont toujours été là.

Le big bang n’est pas la genèse de l’univers. Ce n’est que la genèse de ce que le terrien a pu explorer.

Ceci correspond très bien en physique à la loi de Lavoisier, paraphrase d’Anaxagore, un présocratique : rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.

Remarquons en passant que ce va et vient crée une combinaison troublante.




8 combinaisons possibles. En informatique, 1 octet = 8 bits. Curieux, non ?


Si le lecteur a suivi les documentaires sur les bâtisseurs de l’ancien monde ou encore la théorie des anciens astronautes, il trouvera des choses extrêmement curieuses.

En outre, des géoglyphes et pétroglyphes datant de millénaires représentent assez souvent des spirales.

Curieux, non ?

Enfin, le mathématicien canadien Gabriel LaFrenière démontre mathématiquement que la matière est faite d’ondes : voir https://www.collectionscanada.gc.ca/eppp-archive/100/200/300/gabriel_lafreniere/matiere_ondes-e/matiere.htm .

On peut mettre toutes ces choses en relation avec par exemple les phénomènes rapportés sur le site de Jean-Pierre Girard : http://www.girard.fr/ . Les vidéos sont très explicites.

Et ainsi de suite pour les guérisseurs, les barreurs de feu, etc.

Il y a donc des ondes qui sont capturées par les spirales. Mais il y a aussi des micro-inversions de polarité dans la matière ferromagnétique utilisée et cela produit de l’électricité.


Que faut-il comprendre ?

Ce n’est pas à moi de le dire au lecteur. Il est d’une importance capitale que chacun cherche, s’instruise, vérifie et teste chaque chose dans la mesure du possible.

Ainsi, par exemple, je n’imaginais pas que je puisse un jour faire tourner un petit chapeau d’alu à la pointe d’une aiguille fichée dans un bouchon de Liège, le tout sous un bocal retourné, comme le fait J.P. Girard. Puis, un jour, je l’ai fait, d’abord sans le bocal, ensuite, avec le bocal.

Chacun de nous dispose d’un pouvoir bien supérieur à ce que l’on imagine ou à ce que notre éducation dressage nous a fait croire.

En nous unissant, un monde bien meilleur nous attend.


Les expériences ci-dessus décrites sont aux risques et périls des expérimentateurs éventuels.


Luc Spirlet 15 octobre 2020